dimanche 29 août 2010
samedi 28 août 2010
vendredi 27 août 2010
mercredi 25 août 2010
mardi 24 août 2010
lundi 23 août 2010
dimanche 22 août 2010
samedi 21 août 2010
vendredi 20 août 2010
Nicolas de Stael
"Plus l'ombre est précise, forte, inévitable, plus on a la chancede faire vite, clair , foudroyant
jeudi 19 août 2010
mercredi 18 août 2010
mardi 17 août 2010
lundi 16 août 2010
dimanche 15 août 2010
samedi 14 août 2010
Nicolas de Stael
“L’instinct est de perfection inconsciente et mes tableaux vivent d’imperfection consciente”.
jeudi 12 août 2010
mercredi 11 août 2010
mardi 10 août 2010
J'ai récupéré mon internet et vais pouvoir vous lire...
lundi 9 août 2010
vendredi 6 août 2010
Carlos Saura ; Les yeux bandés
"S comme...
Carlos Saura
Son nom apparaît au moment où celui de Juan Antonio Bardem commence à décliner, et il devient rapidement le chef de file du nouveau cinéma espagnol qui émerge dans les années 60, lorsque le poids du franquisme sur la culture s'allège quelque peu. Il décroche deux fois l'Ours d'argent à Berlin, en 1966 pour La Chasse et en 1968 pour Peppermint frappé. Les dix années qui séparent Le Jardin des délices (1970) de Vivre vite (1980) sont marquées par une succession de films importants, Ana et les loups, La Cousine Angélique, Cria cuervos, Elisa vida mia, Les Yeux bandés, qui obtiennent un succès international sans que Carlos Saura fasse quelque concession que ce soit à la facilité. Ses thèmes propres - la mémoire, la famille, le rapport enfant-adulte, le refoulement sexuel, le poids du passé - sont parfaitement mis en valeur par son scénariste attitré, Rafael Azcona, et son actrice (alors son épouse) Geraldine Chaplin, avec laquelle il tournera neuf films. Paradoxalement, la fin du franquisme et la libéralisation du régime, qui auraient dû lui permettre de s'exprimer pleinement, correspondent à une baisse d'inspiration et les réussites deviennent rares, Ay Carmela ! (1990) excepté. Il se consacre à des sujets moins personnels, adaptations de Lorca ou de Bizet, s'intéresse à la danse et à la musique (L'Amour sorcier, Flamenco, jusqu'à son très récent Fados, 2007), dans des productions nombreuses et irréprochables mais dont l'intérêt s'effrite. Mais, pour les six ou sept titres des années 70 qui demeurent des perles étranges, et le regard inoubliable d'Ana Torrent dans Cria cuervos, on peut lui conserver longtemps encore une reconnaissance certaine."
Carlos Saura
Son nom apparaît au moment où celui de Juan Antonio Bardem commence à décliner, et il devient rapidement le chef de file du nouveau cinéma espagnol qui émerge dans les années 60, lorsque le poids du franquisme sur la culture s'allège quelque peu. Il décroche deux fois l'Ours d'argent à Berlin, en 1966 pour La Chasse et en 1968 pour Peppermint frappé. Les dix années qui séparent Le Jardin des délices (1970) de Vivre vite (1980) sont marquées par une succession de films importants, Ana et les loups, La Cousine Angélique, Cria cuervos, Elisa vida mia, Les Yeux bandés, qui obtiennent un succès international sans que Carlos Saura fasse quelque concession que ce soit à la facilité. Ses thèmes propres - la mémoire, la famille, le rapport enfant-adulte, le refoulement sexuel, le poids du passé - sont parfaitement mis en valeur par son scénariste attitré, Rafael Azcona, et son actrice (alors son épouse) Geraldine Chaplin, avec laquelle il tournera neuf films. Paradoxalement, la fin du franquisme et la libéralisation du régime, qui auraient dû lui permettre de s'exprimer pleinement, correspondent à une baisse d'inspiration et les réussites deviennent rares, Ay Carmela ! (1990) excepté. Il se consacre à des sujets moins personnels, adaptations de Lorca ou de Bizet, s'intéresse à la danse et à la musique (L'Amour sorcier, Flamenco, jusqu'à son très récent Fados, 2007), dans des productions nombreuses et irréprochables mais dont l'intérêt s'effrite. Mais, pour les six ou sept titres des années 70 qui demeurent des perles étranges, et le regard inoubliable d'Ana Torrent dans Cria cuervos, on peut lui conserver longtemps encore une reconnaissance certaine."
jeudi 5 août 2010
mercredi 4 août 2010
mardi 3 août 2010
lundi 2 août 2010
dimanche 1 août 2010
Photographie
Falaise
Éboulis blanc à ses pieds
Je regarde la mer
Elle hausse le ton face à cet épaulement détaché
Presque hautain.
Plusieurs essais se dénouent en effilochages perlés de sauts irrationnels torsadés
Pas de deux
la lutte a lieu dans un plan frontal
Un souvenir se déroule en mémoire
La ligne cicatricielle des brisures
Gigantesque mâchoire
Une mouette glisse
Un cri
L'âme plonge dans ce visage frappé de deuil dont la lumière fuit
Je photographie
Éboulis blanc à ses pieds
Je regarde la mer
Elle hausse le ton face à cet épaulement détaché
Presque hautain.
Plusieurs essais se dénouent en effilochages perlés de sauts irrationnels torsadés
Pas de deux
la lutte a lieu dans un plan frontal
Un souvenir se déroule en mémoire
La ligne cicatricielle des brisures
Gigantesque mâchoire
Une mouette glisse
Un cri
L'âme plonge dans ce visage frappé de deuil dont la lumière fuit
Je photographie
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