"Le spectre de la rose" par Noureiev et "La dame aux camélias" dansé par Sylvie Guillem.
Vous allez faire un effort de concentration, oublier les déplacements, les grands sauts, l'émotion dégagée par ce parfait accord entre l'expression du visage et la position du cou.
Bref vous allez diaphragmer sur leurs mains avec juste ce qu'il faut de poignet pour que l'unité des 5 doigts soient évidentes.
Et bien dans cette ultime partie du corps, se réinscrit l'histoire du ballet et même l'anticipe dans sa configuration.
Souvenir et anticipation voila donc bien deux notions qui s'opposent; et bien non, elles ne s'opposent que dans le langage. Le cerveau humain lui les fait résonner et chez ces deux danseurs exceptionnels quelle synergie!
dimanche 22 juin 2008
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