Le "porté" est- il toujours qu'une question de corps à corps?
Pina Bauch dans ce magnifique extrait de Café Muller dont elle occupe la centralité comme une sorte d'axe renvoie notre regard vers un autre sens...
Si la première partie nous montre un couple, pris dans un enchainement de portés déconstruits, inaboutis... (un peu comme des enfants explorent toute la variété des mouvements disponibles avant de trouver la bonne formule)aidé par un troisième danseur qui semble représenter l'idée du "sens de soi".
La troisième partie met en scène ce que je pourrai appeler "deux corps émus", deux corps lointains mais portés l'un par l'autre... dans une intersubjectivité qui fonde leur être...
dimanche 1 juin 2008
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