Comme dirait Bach, celui de la guirlande éternelle. Douglas Hofstadter l'avait bien décrite. C'est loin d'être la fausse note annoncée mais plutôt l'entrelacs parfait de Kurt Gödel, de Maurits Cornelis Escher et de Johann Sebastian Bach.Belle figure! sans fin et sans début, comme la vie, comme l'amour...
C' est la voie Appia du béton, la lumière du sud qui se tient à la rambarde, garde-fou de nos voix.
C'est plutôt l'abois happé du téton!
Une diagonale solaire à 45° sur 6 angles à 120° gare aux sinus.
trop compliqué, je prends la tangente
Pour dire les choses simplement, ça arrive.Baltha
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7 commentaires:
Comme dirait Bach, celui de la guirlande éternelle. Douglas Hofstadter l'avait bien décrite.
C'est loin d'être la fausse note annoncée mais plutôt l'entrelacs parfait de Kurt Gödel, de Maurits Cornelis Escher et de Johann Sebastian Bach.
Belle figure! sans fin et sans début, comme la vie, comme l'amour...
C' est la voie Appia du béton, la lumière du sud qui se tient à la rambarde, garde-fou de nos voix.
C'est plutôt l'abois happé du téton!
Une diagonale solaire à 45° sur 6 angles à 120° gare aux sinus.
trop compliqué, je prends la tangente
Pour dire les choses simplement, ça arrive.
Baltha
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