jeudi 5 août 2010

Fellini

2 commentaires:

Gilbert Pinna a dit…

La mécanique fellinienne ne libère pas ici du comique mais nous fait mieux saisir, par son impossibilité, à quel point le geste de la caresse est d'abord l'expression d'une tendresse diffuse, intérieure, fragile, inquantifiable.

laurence a dit…

C'est vrai je n'y vois aucun comique... quant à la tendresse, elle est là sans nul doute... parfaite infiniment humaine...vous allez probablement rire mais cette scène me fait penser à une scène de "Diamands sur canapès"Quel acteur étonnant...