lundi 31 mai 2010

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Si l'on pouvait trouver un espace entre le fleuve et le rocher, écrivait Rilke...

Anonyme a dit…

c'est peut être dans ce mouvement dans cet élan qui oublie l'espace que l'on prend pleinement conscience de l'immensité de son espace corporelle il faut se retourner sur soi rien que sur soi oublier l'en dehors qui n'existe que par la sensation presque tendre d'un frolement de fleur mais oh combien étranger d'une autre nature...aile

le bourdon masqué a dit…

Bel héllène.Délicat délice d'Hellas.
Bzzz...

aléna a dit…

C'est en Crête? Ils avaient le sens de la vie, ces grecs, tt de même...