Oui, on devine cette terre, c'est juste, au large du Sénégal. On voit un bateau qui passe. Ton clin d'oeil m'émeut. C'est la possibilité d'une terre, si je puis dire. Et le personnage qui agite un drap blanc dans le Radeau, et la virtuosité de Géricault. J'écris sur lui en ce moment, "Joseph le maure", le noir de Saint Domingue (Haiti). Un thé oui, à trois, à plusieurs... la possibilité d'une amitié, comme d'une île.
8 commentaires:
Une île assurément que je vous souhaite accueillente.
Je vous y veut la bienvenue.
Il y a un trésor dans cette île.
Baltha
P.S. Un thé caravanier partagé avec Bona dans le creux de ma main, ça vous tente, ou pas?
merci c'est très gentil à vous deux
bien sure les mains tendues ne s'oublient jamais
Sequana y règne t-elle? Les arbres, pourquoi sont-ils mutilés?
Nature domestiquée non elle n'est pas paradisiaque.
Bzzz...
Voit on la terre dans le radeau de la Méduse,On devine simplement au loin? et le premier plan n'est pas fantastique...
il y a quand même une ouverture vers le ciel, les arbres nous y entrainent
Oui, on devine cette terre, c'est juste, au large du Sénégal. On voit un bateau qui passe. Ton clin d'oeil m'émeut. C'est la possibilité d'une terre, si je puis dire. Et le personnage qui agite un drap blanc dans le Radeau, et la virtuosité de Géricault. J'écris sur lui en ce moment, "Joseph le maure", le noir de Saint Domingue (Haiti). Un thé oui, à trois, à plusieurs... la possibilité d'une amitié, comme d'une île.
Une île qui me conviendrait bien. On y planterait bien une petite tente indienne.
(Décidement j'aime beaucoup le petit nom de votre blog)
ps : Merci pour le bo-poem (n'hésitez pas tant ...voyons! ;-)
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