jeudi 10 juillet 2008

Vision

Je glisse à la renverse
Lentement je tombe
Peut-être du parapet
Dans l’ombre

Les poursuivants
Effacés
Dans ce cerveau acculé
Toute cette course futile
Pour ce face à face ultime
D’eux

Avec ma mort

4 commentaires:

johnny neutron a dit…

La course fut elle futile,
n'en est pas moins ponctuée de moments intenses!

Que ce soit dans les instants de fatigue,
où il vaut mieux juste s'entendre et pas trop s'écouter,
ou dans les moments d'euphorie,
où chaque pas en avant nous transporte,
la course ne peut se résumer au décompte de quelques kilomètres!

:)

johnny neutron a dit…

La course fut elle futile,
N'en est pas moins composée de moments intenses.

Que ce soit dans les instants de fatigue,
Ou il vaut sans doute mieux juste s'entendre plutôt que s'écouter,
Ou dans les moments d'euphorie,
Ou chaque pas en avant nous transporte,
La course ne peut se résumer au décompte de quelques kilomètres!

:)

Anonyme a dit…

J'espérais revivre Londres sur l'écran noir de mes nuits blanches... n'ont défilé que des stéréotypes franchouillards jusqu'à l'overdose
quelle horrible vision !

Anonyme a dit…

La course ou la vie! il s'agit d'un hold up! les mains en l'air, celles du danseur, peut être. Mais Il faut savoir puiser dans le sol avec ses mains l'énergie qui donne la vie.

Les "chênes croisés" que l'on abat sont autant de mouvement qui vous transportent.

Qui n'a pas ressenti le plaisir de dominer son corps en le laissant libre, ne peut comprendre le bonheur du danseur.