dimanche 24 avril 2011

Roméo et Juliette Mac Millan Sylvie Guillem etJonathan Coope

3 commentaires:

jacques Ignazi a dit…

merci de votre commentaire et à la lecture de vos archives je vois que nous avons beaucoup de centres d'intérêt commun , à bientôt pour de nouvelles visites
J.I

Nakis a dit…

Magnifique. Une Juliette telle qu'on rêve de voir sur scène et si j'ose dire telle que Shakeaspeare lui même aurait aimer voir. J'ai eu la chance de la voir à la fois dans la version de MacMillan à Londres et celle de Nureyev à Paris. Une Juliette magique, belle comme on n'ose pas imaginer, innocente, naïve, mature, amoureuse tragique, intelligente, passionnée. Un rêve!

laurence a dit…

D'autres lueurs n'est ce pas... A bientôt...
Nakis ce que Mac Millan et Sylvie Guillem retranscrivent très bien c'est la pureté de cet amour qui est presque une sorte d'idéal poètique ou le regard de l'autre a un pouvoir surnaturel: l'oubli de soi même... Ce qui n'apparait pas du tout dans la version Noureev...