Puisqu'il est question de Mozart, il me vient à l'esprit une phrase de ce pianiste de la première moitié du 20ème siècle, Arthur Schnabel à propos de Mozart:
« On fait jouer Mozart aux enfants à cause de la petite quantité de notes ; les adultes s’en détournent à cause de la grande quantité de celle-ci ».
Il faut dire qu'à l'époque on souriait beaucoup de Mozart dont on prenait les oeuvres pour de douces plaisanteries. Schnabel fut un de ceux qui fit beaucoup pour Mozart.
Chère hôtesse, votre association sourire et Mozart m'a refait penser à tout cela!
Et si je puis me permettre à pas feutrés, l'important ce n'est pas la forme mais le fond... Aimer c'est un challenge, c'est une aventure peu commune, et c'est aussi une découverte de l'autre. Pour cela je reconnais qu'il faut un sens de soi-même. On aime mal si on ne s'aime pas.
11 commentaires:
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Celle de droite c'est Nanerl?
Bonne pioche
Castafiorès !
On aimerait en savoir un peu plus. C'est un peu mystérieux Comme dirait Rameau.
beau couple de sourires en tout cas!
Puisqu'il est question de Mozart, il me vient à l'esprit une phrase de ce pianiste de la première moitié du 20ème siècle, Arthur Schnabel à propos de Mozart:
« On fait jouer Mozart aux enfants à cause de la petite quantité de notes ; les adultes s’en détournent à cause de la grande quantité de celle-ci ».
Il faut dire qu'à l'époque on souriait beaucoup de Mozart dont on prenait les oeuvres pour de douces plaisanteries. Schnabel fut un de ceux qui fit beaucoup pour Mozart.
Chère hôtesse, votre association sourire et Mozart m'a refait penser à tout cela!
Moi,Mozart j'en aime la densité dans la légèreté! Intellligent en diable et plus que doué!
Et si je puis me permettre à pas feutrés, l'important ce n'est pas la forme mais le fond...
Aimer c'est un challenge, c'est une aventure peu commune, et c'est aussi une découverte de l'autre.
Pour cela je reconnais qu'il faut un sens de soi-même.
On aime mal si on ne s'aime pas.
ça me rappelle la Pub de Décathlon "A fond la forme"
Allez Héléna "laisse aller na" pas mal celle là comme diraient en coeur le bourdon et notre hôtesse qui y vient aussi!
En tout cas ici on s'aime...
...à tout vent!
on peut réécouter le concerto pour clarinette du même Mozart, pourquoi pas essayer le version Portal, ça décoiffe!
Allez je m'envole vers ces alvéoles qui sont mon miel quotidien
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