Là où tu regardes parfois je ne vois rien Là où tu y mets un sens je puis y mettre le mien Là où chaque fois je me demande pourquoi ? tiens ? Jamais je ne cesse d'interroger tes angles, tes compositions, tes pourquoi pas, peut être, tes affirmations couleurs,toutes ces dialgonales ... Dans cet interstice tu crées ton propre langage qui se suffit à lui même et invite au passage à se dire mais qui ? qui prend ça ? et pourquoi ? et comment peut être ... et oui, tiens, ah oui, je vois.
C'est patiemment que l'on s'exerce à une nouvelle tangente.
7 commentaires:
Là où tu regardes parfois je ne vois rien
Là où tu y mets un sens je puis y mettre le mien
Là où chaque fois je me demande pourquoi ? tiens ?
Jamais je ne cesse d'interroger tes angles, tes compositions, tes pourquoi pas, peut être, tes affirmations couleurs,toutes ces dialgonales ...
Dans cet interstice tu crées ton propre langage qui se suffit à lui même et invite au passage à se dire mais qui ? qui prend ça ? et pourquoi ? et comment peut être ... et oui, tiens, ah oui, je vois.
C'est patiemment que l'on s'exerce à une nouvelle tangente.
les dialgonales...
Laurence voit à travers les choses.
Baltha
A travers ou en dedans.
L' œil écaille la vue.
http://jeromegiller.net/?espace-critique.head.130737401785
Photomot...
Catharsis, thé à la cathédrale
lozange orange de Laurence
rimmel et jumelle de la belle
fève et fièvre de l'orfèvre
revers et rebours sont comptés
dites moi des mots...
je vous écoute là chez mes parents comme avant
folle en sommeil
je surveille
le bruit de la machine
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