mardi 28 juillet 2009

New York, Lincoln Center.

 

1995 Je l'avais vu danser là: une barre, la barre d'un très vieux Monsieur qui avait donné sa vie à la Danse... une danse qui savait employer les techniques les plus sophistiquées mais qui pour la dernière fois se mettait en scène simplement à la barre, dans son travail de tous les jours... dans sa douleur de tous les jours devant ce mouvement qui lentement se refermait...
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vendredi 24 juillet 2009

Paris quartier d'éte: Ook: Theater Stap,Sidi Larbi Cherkaoui, Nienke Reehorst

Dans la rue, le regard erre. Il passe avec cette sorte de calcul hypocrite, une sorte de forme élaborée du voyeurisme...Il évite de s'arrêter sur ce qui peut être différent et c'est peut être là dans ce regard vide que se marque le plus profondément l'exclusion...
« Ook »qui veut dire « aussi » en néerlandais est un mot d'inclusion; et c'est le titre d'un spectacle présenté du 23au 25 juillet par Paris quartier d'été au Palais Royal par le Theater Stap:une troupe professionnelle composée d'acteurs handicapés mentaux.
Ils sont là en face de nous. Ils se donnent à voir. Nous les regardons... nous le public avec dans les yeux un étonnement « émerveillé » aurait dit Sylvie Guillem.
Ce travail réalisé sous la direction de Sidi Larbi Cherkaoui qui est non seulement un chorégraphe inventif « Zero degrees »avec Akram Kahn et Antony Gromley mais aussi ce qu'on pourrait appeler avec ce terme un peu passé de mode mais qui s'impose « un humaniste » et de Nienke Reehorst son assistante chorégraphe.
Mais en fait, dans ce spectacle formés « de l'enchainement d'images qui nous accompagnent nuit et jour. Des gros titres de journaux. Des scènes à la télé. Des affiches qui nous poursuivent dans la rue. » quelque chose se passe une sorte de déclic qui fait venir à l 'évidence que ces handicapés mentaux, ces trisomiques que nous avions confortablement rangé dans une sorte de boite comme des sardines sans tête ont chacun une individualité étonnante qui revendique leur verticalité humaine avec à la fois une sorte d'allégresse communicative qui permet la représentation sans faux fuyants de problèmes humains: le suicide, la mort ,la maternité, l'amour;
Se servant du principe que chez les humains, un thème, un geste, un mot prennent une infinie et fantasque variété dont aucune ne ressemble aux autres, mais s'harmonisent sous le vocable vie: une mise en abyme de la rencontre du vous et du moi...

lundi 20 juillet 2009

Marina

 
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Mind

 
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Et si les parallèles se rejoignaient dans les miroirs

http://365jours ouvrables.blogspot.com/
"...For thee, O now a silent soul, my brother,
Take at my hands this garland, and farewell.
Thin is the leaf, and chill the wintry smell,
And chill the solemn earth, a fatal mother,
With sadder than the Niobean womb,
And in the hollow of her breasts a tomb.
Content thee, howsoe’er, whose days are done;
There lies not any troublous thing before,
Nor sight nor sound to war against thee more,
For whom all winds are quiet as the sun,
All waters as the shore." Swinburne

dimanche 19 juillet 2009

samedi 18 juillet 2009

samedi 11 juillet 2009

 

Je serai de retour lundi...
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