dimanche 4 mai 2008

Une sorte de....

Assez souvent un monde grimaçant et dure qui oblige le corps à se casser à se disloquer . Une sensation de vertige qui vous plaque à la paroi des murs. Alors se succèdent des grands pliés à la seconde presque au ralenti des grands jettés tordus et enflammés dans des figures géométriques qui se croisent presque sauvages . C'est celà Mats Ek avec parfois une vraie caresse mais c'est rare...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

ce que j'ai aimé dans cette pièce c'est l'accéleration vertgineuse et la compostion de la chorégraphie précise à plusieurs personnages et l'ambiance de la couleur si raffinée