mardi 6 mai 2008

Béjart ,les années de maturité.

Un remerciement hier soir à la Cinémathèque de la Danse et à Germaine Cohen qui a su redonner vie au regard bleu étincelant de Maurice Béjart.
Remontons le montage, j'aime beaucoup le palindrome...
"Boléro" par Sylvie Guillem et le Tokyo ballet 2OO5, sans doute une des chorégraphies les plus fascinantes de Maurice Béjart, magie du geste et du rythme à laquelle Sylvie Guillem donne une envergure fastueuse et mystérieuse dans la pureté ciselée de son style.
Voir et revoir encore" La Danse "car c'est bien de cette religion là qu'il s'agit . Le corps émotion comme cantique...
"La quête de l'Absolu ", c'est un peu comme cela que s'enchainent les différentes séquences:
" Dialogue avec l'ombre double", "le Chant du compagnon errant", "Serait-ce la mort?, "Don Giovanni", "Life " (ou Jean Babilée l'homme -danse aux vies multiples s'incarne dans le Contemporain avec cette félinité étonnement aquatique...Toute l'évolution est déjà là dans ce ballet de 1979). "Adagietto".
Et puis l'Oiseau de feu ou la luxuriance corporelle de Jorge Donn transmet à Niklas Ek le don de l'absolu de la Danse ...


3 commentaires:

Anonyme a dit…

je vois que vous êtes allée à la cinémathèque
c'est trop loin pour moi . Néanmoins je suis la programmation . NiKlas Ek est le frère de Mat .Il est extraordinaire je l'ai vu récemment dans un spectacle de James Thieriée . et J'ai vu "le Dragon Bleu" de Robert Lepage .

kreul a dit…

Quelle chance ! mais je n'étais pas libre...

Anonyme a dit…

Olala je n'y connais pas grand chose!