L'asphalte et les lacs font glisser les regards
vers des sources imaginaires
tourner comme une toupie
sur cette surface lisse et brillante
laisser échapper ses désirs profonds
les mots s'envolent libellules frémissantes
la sensualité des ailes argentée entrouve les nénuphars
murmures d'amour perdu quelque part
l'asphalte touché par des suites entrechoquées et le lac s'enfoncent doucement
jeudi 4 novembre 2010
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5 commentaires:
Voici bel assemblage
présent ici dans cette case
comme sorti d'un mirage
dont lecture,nous faisons à l'occase.
Auprès d'un tel aréopage
toujours en extase
comment tourner la page
avide, sans passer de phrases
Moi, je dis, ouvre grand tes ailes et vole au dessus du nid de coucou!
Rien, ne fait moins tourner la tête que celui qui pense l'avoir en mains!
La cage est difficile à "désoudre ", pardonne-moi le mot,mais pas impossible!
Je crois que tous les deuils quelqu'ils soient sont difficiles, les renaissances aussi, en fait tous les changements.
Le plus difficile du difficile c'est d'arriver à se sentir en tant que tel!
D'accepter qu'on est.
De s'aimer.
Et,
d'accepter de l'être en soi, et non pour ce que l'on fait.
Moi,
je t'aime.
Telle.
Je te trouve, exceptionnelle, les yeux de l'amour sans doute, de l'amitié, pour éviter la moindre ambiguité.
Rien à dire de plus simple et de plus vrai aussi.
Parfois les mots...
Take care,
s'il te plait.
Hélène
ô Laurence ! Allez au-delà de qui te portait...
que d'amour ici!
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