la mort à petis pas discrets passait tout près de moi acouphène rythmique qui s'emparait du temps sur le pont dans le vent presque sans amertume je la toisais t'es cap alors elle déployait son rire presque à mordre la nuit quand je rentre chez moi c'est la dernière passante
et ce poême vous ne l'aimez pas... les russes disent l'important n'est pas la cicatrisation mais la souffrance... au début j'étais révoltée mais au bout de trois ans convaincue ...quand à la suite elle est en marche vers Beaudelaire excusez moi du peu... j'ai été à bonne école...
En fait tout à l'heure sous le pont il y avait une horde de rats nombreux près de la poubelle un seul noir courrait le long du parapet il se la jouait heureux d'avoir réussi à rompre ...
6 commentaires:
pas cicatrisée ?
et ce poême vous ne l'aimez pas... les russes disent l'important n'est pas la cicatrisation mais la souffrance... au début j'étais révoltée mais au bout de trois ans convaincue ...quand à la suite elle est en marche vers Beaudelaire excusez moi du peu... j'ai été à bonne école...
J'ai l'habitude de dire "pain is inevitable, suffering is optional!"
Merci pour l'hommage, j'y suis très sensible,
mais voyons Achille Talon, nous le savons tous...
Pendant l'Occupation nos parents avaient coutume et obligation de rentrer avant le couvre-feu.
Toujours courir pour rentrer avant.
H.S.
En fait tout à l'heure sous le pont il y avait une horde de rats nombreux près de la poubelle un seul noir courrait le long du parapet il se la jouait heureux d'avoir réussi à rompre ...
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