tag:blogger.com,1999:blog-643908860678085822.post7799203021674252852..comments2024-03-20T10:19:13.114+01:00Comments on "Au devant de qui le porta": Baron Samedi Alain Buffard Théâtre de la Cité Internationalelaurencehttp://www.blogger.com/profile/10888546907790756136noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-643908860678085822.post-8890982938936833962023-10-14T11:04:04.035+02:002023-10-14T11:04:04.035+02:00Thank yyou for thisThank yyou for thisSims 4 Picshttps://sims4pics.tumblr.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-643908860678085822.post-744815425303331932012-11-11T19:02:18.551+01:002012-11-11T19:02:18.551+01:00:-)
Pas mal comme signature, l'anonyme de Bak...:-)<br /><br />Pas mal comme signature, l'anonyme de Bakou!<br /><br />Magnifique critique, indeed! Elle te ressemble.Bluehttps://www.blogger.com/profile/16074710512789761213noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-643908860678085822.post-62338222776810292932012-11-11T09:46:34.791+01:002012-11-11T09:46:34.791+01:00Ce qui est toujours étrange dans les commentaires ...Ce qui est toujours étrange dans les commentaires que tu composes c'est qu'on se rend bien compte du spectacle que tu as vu, si tu l'as aimé ou pas, (tu t'engages toujours). Donc tu nous parles non seulement de la création, mais aussi du lien entre le créateur et son public. <br />En même temps il y a toujours quelque chose d'interrogateur, en suspens qui nous fait toujours entrer dans un doute et comme disait Nietzsche : "ce n'est pas le doute qui rend fou mais la certitude"<br /><br />Et c'est bien sûr ce doute qui nous fait envie d'aller voir les spectacles de tes critiques, seulement quand on est très loin, il nous nous reste tes écrits et c'est toujours un plaisir! Bises<br /><br />(l'anonyme de Bakou)Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-643908860678085822.post-14842882006079840632012-11-11T05:12:19.623+01:002012-11-11T05:12:19.623+01:00Eh ben!
H./S.Eh ben!<br />H./S.LE MAMIhttps://www.blogger.com/profile/17323109960639231326noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-643908860678085822.post-31041322152086408842012-11-10T23:40:19.089+01:002012-11-10T23:40:19.089+01:00Que j'aurais aimé voir ça.
La critique est ric...Que j'aurais aimé voir ça.<br />La critique est riche de ressentis et de références. Bravo !Laure K.https://www.blogger.com/profile/09514157231216848740noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-643908860678085822.post-27294383703040621402012-11-10T23:21:04.976+01:002012-11-10T23:21:04.976+01:00Merci pour votre texte.
Oui, dans cette cour des...Merci pour votre texte. <br /><br />Oui, dans cette cour des miracles, sur ce Radeau de la Méduse, sur cette page désastreuse qui ne finira jamais de s'écrire, une voix s'élève pour éructer en boucle répétitive 'Fuck you" à la gueule de ceux qui ne puisent leur force et leur pouvoir que par le déni et l'humiliation de l'autre, ou pire sa torture et sa mort. <br /><br />Ce spectacle d'Alain Buffard ne gomme rien de l'Histoire. Il a la teneur d'un grand blues servi par les acteurs pulseurs d'une profonde énergie de résistance au chaos, à la cruauté, à l'obscénité de l'espèce mercantile. Le chant des douleurs est bien là et encore bien vivant.<br /> "Vous m'avez cru mort, je ne suis pas mort", nous sourit , droit dans les yeux ,le Baron Samedi.Nous sourions aussi. <br /><br /><br /><br />eve couturier.noreply@blogger.com